Tolo ANDRIANANDRIANINA

Mon parcours est assez atypique parce que j’ai étudié l’électronique avant de m’être plongé dans le tourisme. Avant Détours Madagascar, j’ai déjà été guide touristique pour une autre boîte. Aujourd’hui, j’ai trouvé une famille dans lequel je ne cesse d’apprendre et de grandir. C’est une fierté pour moi de travailler chez Détours Madagascar !

J’ai de plus en plus soif de découverte et de partage, d’apprentissage. C’est ce que j’aime dans mon métier de guide. Les circuits aventure (à pied bien sûr) sont si passionnants ! Comme je suis un éternel étudiant et un autodidacte, j’étudie en ce moment la botanique et les lépidoptères (les papillons). Je parle le malagasy bien sûr, le français et un anglais moyen.

Portrait chinois

Si j’étais une région, je serais le Vakinakararatra, pour sa richesse agricole, culturelle…

Si j’étais un village, je serais Bekinana, dans le massif du Makay, pour le peuple qui y vit et que je considère comme ma famille.

Si j’étais un paysage, je serais les dunes d’Androka, dans l’extrême sud de Madagascar.

Si j’étais une plante, je serais une orchidée, rare, belle et un peu « marginale ».

Si j’étais un animal endémique, je serais une tortue étoilée de Madagascar, inoffensive et courageuse.

Si j’étais un mois de l’année, je serais mai, mon mois de naissance.

Si j’étais un moyen de transport, je serais mes pieds. J’adore marcher, randonner…

Si j’étais un vêtement ou un accessoire vestimentaire, je serais un bandana. J’en ai de toutes les couleurs que je mets toujours lors de mes circuits.

Si j’étais un élément de la nature, je serais le vent, puissant, rebelle…

Si j’étais un accessoire de voyage, je serais un couteau.

Si j’étais de la nourriture, je serais le poisson, préparé de toutes les façons.

Si j’étais un bruit, je serais la musique métal.

Si j’étais une langue, je serais le japonais.

Si j’étais un sport, je serais la musculation.

Si j’étais une qualité, je serais la gentillesse.

Si j’étais un défaut, je serais la gentillesse.

Si j’étais une personnalité malgache, je serais Gothlieb, pas en tant qu’humoriste, mais en tant que critique politique.